[et_pb_section fb_built=”1″ _builder_version=”3.21″ background_image=”https://suzanelousse.com/wp-content/uploads/2019/03/gold-163201_1280.jpg”][et_pb_row custom_padding=”27px|0|27px|0px|false|false” _builder_version=”3.21″][et_pb_column type=”1_2″ _builder_version=”3.21″][et_pb_blurb title=”Histoire de Suzane” _builder_version=”3.21″ header_level=”h1″ header_font=”Trebuchet||||on||||” header_text_color=”#ffffff” header_line_height=”1.7em” header_text_shadow_style=”preset2″ body_font=”|600|||||||” body_text_color=”#ffffff” body_font_size=”12px” body_line_height=”1.5em” background_color=”#000000″ background_layout=”dark”]

J’ai choisi le métier de thérapeute et coach car je suis philanthrope, j’ai appris qu’aider les autres c’est prendre soin de soi. Nous pouvons tous reconstruire une vie brisée.
Notre esprit considère notre vie comme une histoire.
J’ai acquis le dépassement de soi en transformant ma douleur en énergie. Notre esprit considère notre vie comme une histoire.
Nous avons tous un récit qui contient plusieurs chapitres, avec un début, un milieu et une fin. Chacune de nos  expériences vont influencer tout notre être, nos choix, nos décisions, nos croyances, notre identité, notre réalité.
C’est pourquoi, j’ai segmenté quelques citations de mon histoire dans l’intention de vous ramener à comprendre que derrière chaque épreuve se trouve un bienfait.
J’ai écrit mon 2 ème acte, à votre tour d’écrire le votre.

Mon récit débute le 27 décembre 1979, j’avais le sentiment d’appartenir à une autre planète, j’étais complètement perdue, je ne comprenais pas les codes sociaux et je n’arrivais à me connecter aux autres, je vivais dans une douce bulle hermétique au monde extérieur,ma figure parentale et mes éducateurs me percevaient comme un phénomème non conforme, j’ai été très souvent défini  dans mon enfance ,par des adjectifs comme, tu es bizarre, spéciale, pas normale, la rêveuse, l’étoile filante, absente. Je cicatrice mes angoisses dans la cour de récréation,je redoutais que l’on remarque ma différence, mon retrait, je ne supportais pas  les cris  et le chahut de mes camarades, j’avais tout le temps froid j’étais repliée sur moi-même, je souhaitais disparaitre, je tricotais une stratégie pour retourner dans mon univers, j’avais l’intime conviction  de survenir d’un autre monde. Alors j’ai eu la fameuse idée de me cacher dans les wc pendant les  récréations, je m’interrogeais sans cesse ,qui suis-je? D’ou’ je viens?Qu’est-ce-que je fais là?Je m’abandonnais à mon monde intérieur… Ma bulle est douce et apaisante.Le monde extérieur m’effrayait, je ressentais une profonde tristesse, et parfois même de la colère, je garde à l’esprit  de ce jour en consultation chez le médecin traitant, il m’a demandé: Comment tu t’appelles? Sa question resta sans réponse, et il réitéra sa question encore une fois, et une dizaine de fois, je restais muette. Et il répliqua: Elle n’est pas normale! Je vis l’expression faciale de ma mère, et je compris

qu’elle avait acheté la conclusion de ce médecin…  A cet instant ma mère ignorait que ma vison différente lui sauverait la vie.
A l’âge de 14 ans,je rentrais du collège, la maison était sanglante digne d’un film d’horreur Hollywoodien,  ma mère se tenait là, le crâne massacré à coup de marteau,j’observe mon père  et je compris qu’il vivait un épisode psychotique, il refusait, d’appeler les secours, il enferma ma mère dans sa chambre, pendant qu’elle se vidait de son sang, il m’expliquait qu’elle allait bien, sous le regard de mes petites soeurs, et que l’on avait juste fait l’objet d’un cambriolage. J’avais cette faculté de rester calme en toute circonstance. J’ai alors adapté mon niveau de conscience au sien, et j’ai réussis à sauver ma mère, mon père disait que le cambrioleur viendrait à nouveau pour mes soeurs et moi-même, j’avais comme responsabilité de maintenir en sécurité mes petites soeurs et moi-même pendant que ma mère était hospitalisée.Personne ne soupçonnait mon père,J’ai alors rassemblé mes trois soeurs dans ma chambre tout les soirs, à la tombée de la nuit, je fermais la  porte à clef, lorsque mes petites soeurs voulaient faire pipi, je leur proposais la poubelle de mon bureau. A la sortie d’hôpital de maman, papa s’est volatilisé, et le juge a ordonné le placement des 4 filles, on a toutes été séparés, je fuyais les assistances sociales, je n’ai jamais été placé et j’ai eu une adolescence très rebelle, je suis passée de ma bulle au monde hostile.
 La danse a sauvé mon âme, je pouvais exprimer ma douleur, mes peines, mes frustrations, ma colère, ma tristesse, ma rage, puis les transformer en émotions élevées. Aujourd’hui, je ne suis pas étonnée d’avoir vécu à mon tour un mariage chaotique, chaperonné de violence morale et physique.L’épisode le plus douloureux demeurait l’enlèvement sauvage de mon fils à l’âge de 3ans, ce qui a éveillé chez moi d’anciennes blessures, de haine , de rage, de colère, d’impuissance,de frustrations.
J’ai adopté une stratégie spécifique pour retrouver mon fils et j’y suis parvenue.Lorsque l’on fait l’expérience de la douleur, nous sommes plus disposés  à apprécier les sentiments et sensations agréables.C’est ce que l’on appelle la magie du contraste.Pour savourer pleinement la beauté de la vie, nous devons d’abord connaitre et accepter la douleur. Imaginez que nos vies soient aussi infinies que l’univers, qu’il n’ y ait plus de compte à rebours, que serait votre histoire?
Réécrivez votre histoire!

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Suzane Lousse est experte en neurosciences, elle fait de la recherche et elle crée des outils thérapeutiques.

Elle est conférencière et formatrice à l’international.
Elle collabore avec le professeur  Denis Ducreux,neuroradiologue, créateur de Brainanalyst, CHU
Kremlin Bicêtre, dans le suivi des cérébrolésés. Elle amène une synchronisation entre le cerveau, le coeur et le corps.L’espoir abonde dans le domaine de la neuro thérapie grâce aux cellules embryonnaires du cerveau que l’on appelle les neuroblast. Ce sont les mécaniciens de notre cerveau.
Suzane Lousse a un portrait atypique, elle a le profil du syndrôme d’asperger.Le syndrome d’asperger appartient au spectre autistique.  Ce qui se traduit par des difficultés d’interactions sociales, de communication, et de contact physique.Elle a grandit dans un monde auquel elle ne pouvait  se connecter aux autres, elle vivait dans une  douce bulle hermétique au monde extérieur .Suzane est une personne philanthrope passionnée d’art, de science et de physique.
Son sens aiguisé pour le détail et l’apprentissage donnent un aspect différent et futuriste sur ses méthodes et stratégies d’accompagnement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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